AU CŒUR DU SÉGUR DU NUMÉRIQUE
Échange et partage en imagerie médicale
1. Comprendre les enjeux du Ségur
2. Couloir imagerie : pourquoi faire un choix éclairé ?
3. Pourquoi choisir la DRIMBox Experio ?
La vague 2 du couloir imagerie médicale du Ségur Numérique de la Santé concerne les RIS (demande d’examen, CR d’imagerie structuré…) et le projet de diffusion d’imagerie médicale. Un découpage en 2 DSR sera réalisé pour cette vague 2 (DSR RIS et DSR Diffusion D’imagerie Médicale).
Le projet de diffusion d’imagerie médicale (dispositif n°2) a pour principal objectif la création du réseau national de partage d’images DRIM. Il est appelé de façon générique projet DRIM-M ou DRIMbox, même si l’architecture technique dédiée à ce type de solution est laissée au libre choix des éditeurs et n’impose donc aucune box physique.
Vous trouverez ci-après un extrait d’une présentation réalisée par la DNS lors du dernier Santexpo : Présentation générale du projet DRIM-M
La vague 1 couloir imagerie médicale consistait à proposer une mise à jour logicielle du RIS pour répondre aux exigences du Ségur : donc, sauf à changer de RIS, seul votre éditeur du RIS en place sur votre site était en mesure de vous proposer l’adhésion à cette vague 1 (pour le peu bien sûr qu’il ait fait le nécessaire pour obtenir le référencement Ségur).
La vague 2 comprend deux dispositifs :
Ce dernier dispositif repose sur le principe suivant :
Ségur du Numérique en Santé : Pour Medsquare, les dispositifs de partage d’imagerie méritent un choix éclairé.
Lire le dernier communiquéfonction source de la DRIMbox : alimentation du DMP
fonction source de la DRIMbox : accès aux images via le compte rendu
fonction consommatrice de la DRIMbox : accès aux images
Absolument pas. Si toutes les solutions DRIMbox doivent répondre aux mêmes exigences et contraintes, et couvrent donc a priori un même périmètre fonctionnel « de base », plusieurs éléments vont permettre de les différencier et d’établir une réflexion pour conduire à un choix éclairé :
Les solutions DRIMbox étant financées par l’État, le prix n’est pas un critère de sélection.
Le premier élément à vérifier est celui relatif au référencement de la solution de l’éditeur : il faudra attendre le lancement de la vague 2 couloir imagerie pour pouvoir vérifier quels seront les éditeurs référencés.
Ensuite, voici quelques critères de choix d’une DRIMbox :
Se limite-t-il aux exigences Ségur ou va-t-il plus loin ?
Est-ce que la solution qui vous est proposée expose votre site à Internet ?
Comment faire en sorte que ce dispositif nouveau et innovant soit efficace dès son déploiement ?
Comment répondre aux limites intrinsèques de la DRIMbox ?
S’agissant d’un programme de partage des examens d’imagerie médicale à l’échelle nationale, la sécurité est bien évidemment l’une des préoccupations majeures du projet DRIM M.
Vous trouverez dans la vidéo ci-après une description synthétique des exigences et de leurs conséquences dans ce domaine :
Les exigences de sécurité de la DRIMbox et leurs conséquences
Retrouvez les réponses aux questions les plus fréquentes sur le Ségur du numérique en santé couloir imagerie.
Download PDFL’ANS propose une approche radicalement différente de tout ce qui a été fait depuis 20 ans. La DNS se donne les moyens d’atteindre son objectif : passer de 6 millions de documents échangés / an (1%) à 250 millions (50%).
Grâce à un plan d’investissement historique de 2 milliards d’euros décliné en 3 vagues de financement successives et une règle du jeu simple (incitation, obligation, coercition), la transformation numérique de notre système de santé est réellement engagée.
L’autre point essentiel est la co-construction des différents dispositifs proposés en concertation directe avec les acteurs de terrain : professionnels de santé, ARS, GRADeS et éditeurs ont déjà participé à plus de 1000 réunions organisées par l’ANS et la DNS.
L’ANS communique énormément, et en toute transparence sur l’avancée du Ségur du numérique. Une page de son site web est consacrée aux chiffres clefs du Ségur.
Vous pouvez également consulter depuis le site les rapports des comités de suivi (COSUI) du projet.
Enfin, vous pouvez mesurer l’avancée de la transformation numérique de notre système de santé en tant que patient, via Mon espace santé où vous pourrez constater l’arrivée automatique de différents documents.
L’approche mise en place est celle d’une méthode par « petits pas » : elle est déclinée par phase de financement, appelé « vague ».
Le référencement et les commandes sont clos pour la vague 1, qui est désormais en cours de déploiement. Son objectif est double :
La vague 2 est en cours de conception. Elle devrait être lancée à l’automne 2023. Les dispositifs proposés dans cette vague permettront :
Les taux d’adhésion du couloir imagerie sont parmi les plus élevés du Ségur. Le taux d’adhésion à la vague 1 est de 77% en secteur public et de plus de 80% en secteur libéral lorsque l’on prend en compte la radiologie et l’imagerie hors radiologie. 9 solutions de RIS ont été référencées et 13 millions d’euros ont été engagés.
Pour connaître le bilan en détail de la vague 1, tous couloirs confondus, vous pouvez consulter ici la vidéo du COSUI (Comité de Suivi) de décembre 2022 : Ségur du numérique en santé, COSUI du 7 décembre 2022.
L’ANS a publié sur son site un corpus documentaire dynamique pour que les professionnels de santé puissent accéder plus facilement aux différentes informations : Corpus documentaire (esante.gouv.fr)
Ce document permet d’avoir une bonne vue d’ensemble du projet : Segur_ChantierD_DocCommun_VF.pdf (esante.gouv.fr)
Le Ségur n’est pas une obligation en tant que telle mais bien une incitation, par un financement sur une durée limitée, à mettre en place les différents dispositifs qui vont faciliter l’échange et le partage des données de santé. Chaque établissement peut donc décider d’adhérer ou non au Ségur.
Ceux qui adhèrent pendant la période de prise de commande définie bénéficient d’une prise en charge de l’investissement (« achat pour compte », reste à charge zéro).
Ceux qui n’adhèrent pas dans les délais impartis n’auront pas d’aide financière. Ils devront néanmoins à terme à mettre en place les dispositifs proposés car ces derniers deviendront opposables et réglementaires.
Explication en vidéo de la logique « incitative/coercitive » du Ségur par la DNS (colloque Krypton) : https://vimeo.com/792903010/608cb69eef
Les données auxquelles les professionnels de santé peuvent accéder sont définies dans la matrice d’habilitation pour le DMP.
Concernant l’imagerie, la plupart des professionnels de santé auront accès aux images et aux comptes rendus des examens réalisés sur des sites :
1) Equipés d’une DRIMbox
2) Ayant pu qualifiés l’INS du patient concerné par la recherche du professionnel de santé
Les dispositifs de la vague 1 RIS ont été inclus dans la vague 2 donc vous pouvez adhérer à la vague 2 même si vous ne l’avez pas fait pour la vague 1.
Il faut avoir commandé les dispositifs vague 2 du RIS (dispositif n°1 de la vague 2 du couloir imagerie médicale) et vague 2 du DPI.
Ces derniers sont décrits dans la vidéo suivante, extraite de l’Agora réalisée en association avec la DNS lors du dernier Santexpo : Cas d’usage du projet DRIM-M
Tous ceux relatifs aux urgences (télé-radiologie d’urgence, télé AVC) ainsi que ceux relevant d’une organisation territoriale ou régionale des soins (tenue de RCP, intégration spécifique etc.).
Pour qu’une DRIMbox fonctionne correctement il faut prévoir les connexions suivantes :
A l’exception de la déclaration d’un nœud DICOM sur le PACS (généralement directement géré par le site), l’ensemble de ces connexions fait partie des « exigences croisées » de la vague 2 du Ségur : elles sont donc incluses (et financées) par les dispositifs vague 2 des couloirs DPI et RIS
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